
Le petit train de Belo Horizonte plein à craquer de supporters alcoolisés. Ce n'est pas encore l'abstinence mais c'est déjà un sevrage. Il y a encore deux semaines, le Brésil se saoulait de football à raison de trois à quatre matchs par jour.
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Le petit train de Belo Horizonte plein à craquer de supporters alcoolisés. Ce n'est pas encore l'abstinence mais c'est déjà un sevrage. Il y a encore deux semaines, le Brésil se saoulait de football à raison de trois à quatre matchs par jour.

Le Brésil a perdu son capitaine Thiago Silva, suspendu pour la demi-finale, et Neymar, forfait jusqu'à la fin du Mondial, mais au coup de sifflet final de Brésil/Colombie, Sao Paulo a laissé exploser son bonheur.

Pas de touristes, que des Cariocas. En pleine Coupe du monde, des Brésiliens de tous milieux se retrouvent dans un petit bar de Lapa, le quartier festif de Rio, pour chanter des morceaux traditionnels de samba brésilienne à l'occasion d'une «roda de samba». Une soirée ordinaire à Rio, comme il s'en déroule plusieurs par semaine dans ce genre de bar de quartier.